LE CONSTAT
Appareils électriques, vêtements, chaussures, outils informatiques... Aucun secteur n’échappe au phénomène de l’obsolescence programmée et esthétique. Ces formes de stratégies industrielles incitent les consommateurs à racheter et encouragent la surconsommation. Le réflexe du « jeter & racheter » augmente, lui aussi.
DE QUOI S’AGIT-IL ?
Face à ces constats, l’association Tia’i Fenua et le collectif Nana sac plastique ont mis en place des ateliers collaboratif de réparation mensuels et gratuits sur Tahiti. Forts du succès de ces ateliers, ils souhaitent exporter le concept à Rangiroa. L’objectif est d’organiser un atelier tous les 2 mois, soit 6 pour l’année 2022.
POURQUOI SOUTENIR CE PROJET ?
En l’absence de réparateurs sur l’île, le réflexe du « jeter & racheter » est d’autant plus important. Or lorsque l’on connaît, les difficultés liées à la gestion des encombrants et autres déchets sur les îles éloignées ; on comprend très vite l’intérêt d’une telle initiative. Ces ateliers permettront de donner une seconde vie à des objets destinés à être jetés, le plus souvent abandonnés dans la nature. Elle permettra de former gratuitement les habitants de Rangiroa, mais aussi de les sensibliser aux enjeux environnementaux.
COMMENT LES DONS SERONT-ILS UTILISÉS ?
L’intégralité des dons collectés permettra de financer le transport et l’hébergement des réparateurs-formateurs, venus de Tahiti.